Une pollution visuelle, un refuge a squatters, un amas de detritus et un nid a rats. La villa Palmyra, ou plutot son ebauche, dans la rue des Soeurs-Munet, n’est pas franchement l’immeuble prefere des riverains.

Commencee il y a maintenant seize ans, sa construction n’a jamais ete terminee. Et le promoteur de l’epoque avait fini par alimenter la rubrique faits divers.

La municipalite a bien evidemment cherche a prendre les choses en main, mais elle s’est longtemps heurtee a un probleme de poids : elle ne pouvait rien imposer dans cette affaire totalement privee.

Une solution est pourtant apparue ces dernieres semaines puisque les elus ont reussi a trouver un promoteur en capacite de terminer enfin le chantier.

Restent cependant plusieurs problemes a regler. Le depute-maire, Jean-Claude Guibal, pourtant resolu a faire avancer ce dossier au plus vite, a annonce lors d’une recente reunion de quartier qu’il faudrait, dans un premier temps, deposer un nouveau permis de construire et que son instruction retarderait la remise en route des travaux.

Autre probleme, et de poids celui-ci, le syndic de faillite refuse de valider definitivement la vente tant que le tribunal n’aura pas donne son feu vert.

Autant de tracasseries administratives qui font penser au maire que le batiment ne verra pas arriver de nouveaux ouvriers avant septembre. A partir de la, le chantier deja hors d’eau et hors d’air, devrait avancer tres rapidement.

Pour l’heure, le nouveau promoteur a tout de meme dresse des palissades afin d’eviter tout nouveau squat du batiment. Une deratisation a deja ete realisee et une seconde aura bientot lieu. Des avancees qui ne rassurent pas pour autant certains riverains (lire par ailleurs).

Ce voisinage va tout de meme avoir le plaisir de decouvrir bientot, a quelques dizaines de metres de la, aux abords du rond-point du Carei, un nouvel immeuble qui pourrait reserver quelques surprises.

C’est en effet avec une certaine satisfaction que Jean-Claude Guibal a annonce lors de la meme reunion que le batiment qui abritait jusque-la la pharmacie Huertas (recemment demenagee cent metres plus haut), l’ancien bar-tabac le Fontenoy et le concessionnaire Ford, allait etre entierement rehabilite.

Un important promoteur, Progereal, qui s’est adjoint pour cette operation les services d’un architecte de renom, a en effet prevu d’y implanter un vaste programme de 80 a 90 logements. 20 % d’entre eux seront accessibles en « pass-foncier » (ce qui permet d’obtenir des prix aux alentours de 3 000 E/m2, soit environ 50 % du prix du marche sur ce secteur). La pharmacie et le concessionnaire devraient aussi a terme integrer ce batiment flambant neuf. Il se pourrait meme, mais c’est encore a confirmer, qu’une galerie marchande voie le jour. Suspense…

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Le squat de la rue des Soeurs-Munet devrait etre rehabilite en septembre et l’ancien cafe Fontenoy laissera place a un programme immobilier

Une pollution visuelle, un refuge a squatters, un amas de detritus et un nid a rats. La villa Palmyra, ou plutot son ebauche, dans la rue des Soeurs-Munet, n’est pas franchement l’immeuble prefere des riverains.

Commencee il y a maintenant seize ans, sa construction n’a jamais ete terminee. Et le promoteur de l’epoque avait fini par alimenter la rubrique faits divers.

La municipalite a bien evidemment cherche a prendre les choses en main, mais elle s’est longtemps heurtee a un probleme de poids : elle ne pouvait rien imposer dans cette affaire totalement privee.

Une solution est pourtant apparue ces dernieres semaines puisque les elus ont reussi a trouver un promoteur en capacite de terminer enfin le chantier.

Restent cependant plusieurs problemes a regler. Le depute-maire, Jean-Claude Guibal, pourtant resolu a faire avancer ce dossier au plus vite, a annonce lors d’une recente reunion de quartier qu’il faudrait, dans un premier temps, deposer un nouveau permis de construire et que son instruction retarderait la remise en route des travaux.

Autre probleme, et de poids celui-ci, le syndic de faillite refuse de valider definitivement la vente tant que le tribunal n’aura pas donne son feu vert.

Autant de tracasseries administratives qui font penser au maire que le batiment ne verra pas arriver de nouveaux ouvriers avant septembre. A partir de la, le chantier deja hors d’eau et hors d’air, devrait avancer tres rapidement.

Pour l’heure, le nouveau promoteur a tout de meme dresse des palissades afin d’eviter tout nouveau squat du batiment. Une deratisation a deja ete realisee et une seconde aura bientot lieu. Des avancees qui ne rassurent pas pour autant certains riverains (lire par ailleurs).

Ce voisinage va tout de meme avoir le plaisir de decouvrir bientot, a quelques dizaines de metres de la, aux abords du rond-point du Carei, un nouvel immeuble qui pourrait reserver quelques surprises.

C’est en effet avec une certaine satisfaction que Jean-Claude Guibal a annonce lors de la meme reunion que le batiment qui abritait jusque-la la pharmacie Huertas (recemment demenagee cent metres plus haut), l’ancien bar-tabac le Fontenoy et le concessionnaire Ford, allait etre entierement rehabilite.

Un important promoteur, Progereal, qui s’est adjoint pour cette operation les services d’un architecte de renom, a en effet prevu d’y implanter un vaste programme de 80 a 90 logements. 20 % d’entre eux seront accessibles en « pass-foncier » (ce qui permet d’obtenir des prix aux alentours de 3 000 E/m2, soit environ 50 % du prix du marche sur ce secteur). La pharmacie et le concessionnaire devraient aussi a terme integrer ce batiment flambant neuf. Il se pourrait meme, mais c’est encore a confirmer, qu’une galerie marchande voie le jour. Suspense…

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Postat de pe data de 28 feb., 2010 in categoria România în lume. Poti urmari comentariile acestui articol prin RSS 2.0. Acest articol a fost vizualizat de 2,729 ori.

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