Une mission du Fonds monétaire international (FMI) se rendra en Roumanie le 26 juillet pour évaluer les réformes et discuter du budget 2011, a annoncé lundi son représentant à Bucarest, Tony Lybeck.
La mission du FMI, qui durera dix jours, „analysera la performance économique de la Roumanie ainsi que les réformes structurelles devant lui permettre d’atteindre les objectifs fixés pour l’année prochaine”, a précisé M. Lybeck.
Le FMI a débloqué vendredi dernier une nouvelle tranche de son prêt à la Roumanie, d’un montant de 913 millions d’euros, donnant ainsi son approbation à la politique de réduction du déficit budgétaire de Bucarest.
Le gouvernement roumain a notamment décidé d’une réduction de 25% des salaires du secteur public, doublée d’une hausse de la TVA de 19% à 24% à partir du 1er juillet, afin de ramener le déficit à 6,8% du produit intérieur brut.
Selon le FMI, en cas de conclusions positives de son évaluation, le conseil d’administration pourrait aussitôt débourser une nouvelle tranche, la sixième, de son prêt.
En récession sévère, la Roumanie avait souscrit en 2009 un prêt global de 20 milliards d’euros auprès du FMI, de l’Union européenne et de la Banque mondiale afin de faire face à la crise.

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Une mission du FMI en Roumanie fin juillet pour évaluer les réformes

Une mission du Fonds monétaire international (FMI) se rendra en Roumanie le 26 juillet pour évaluer les réformes et discuter du budget 2011, a annoncé lundi son représentant à Bucarest, Tony Lybeck.
La mission du FMI, qui durera dix jours, „analysera la performance économique de la Roumanie ainsi que les réformes structurelles devant lui permettre d’atteindre les objectifs fixés pour l’année prochaine”, a précisé M. Lybeck.
Le FMI a débloqué vendredi dernier une nouvelle tranche de son prêt à la Roumanie, d’un montant de 913 millions d’euros, donnant ainsi son approbation à la politique de réduction du déficit budgétaire de Bucarest.
Le gouvernement roumain a notamment décidé d’une réduction de 25% des salaires du secteur public, doublée d’une hausse de la TVA de 19% à 24% à partir du 1er juillet, afin de ramener le déficit à 6,8% du produit intérieur brut.
Selon le FMI, en cas de conclusions positives de son évaluation, le conseil d’administration pourrait aussitôt débourser une nouvelle tranche, la sixième, de son prêt.
En récession sévère, la Roumanie avait souscrit en 2009 un prêt global de 20 milliards d’euros auprès du FMI, de l’Union européenne et de la Banque mondiale afin de faire face à la crise.

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Postat de pe data de 6 iul., 2010 in categoria România în lume. Poti urmari comentariile acestui articol prin RSS 2.0. Acest articol a fost vizualizat de 598 ori.

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